miércoles, 1 de agosto de 2007

Heureux les habitants de ta maison, ils te louent sans cesse




Du maître de choeur. Sur la... de Gat. Des fils de Coré.

Que tes demeures sont désirables, Yahvé Sabaot!
Mon âme soupire et languit après les parvis de Yahvé, mon coeur et ma chair crient de joie vers le Dieu vivant.
Le passereau même a trouvé une maison, et l'hirondelle un nid pour elle, où elle pose ses petits: tes autels, Yahvé Sabaot, mon Roi et mon Dieu.
Heureux les habitants de ta maison, ils te louent sans cesse.
Heureux les hommes dont la force est en toi, qui gardent au coeur les montées.
Quand ils passent au val du Baumier, où l'on ménage une fontaine, surcroît de bénédiction, la pluie d'automne les enveloppe.
Ils marchent de hauteur en hauteur, Dieu leur apparaît dans Sion.
Yahvé Dieu Sabaot, écoute ma prière, prête l'oreille, Dieu de Jacob;
ô Dieu notre bouclier, vois, regarde la face de ton messie.
Mieux vaut un jour en tes parvis que mille à ma guise, rester au seuil dans la maison de mon Dieu qu'habiter la tente de l'impie.
Car Yahvé Dieu est rempart et bouclier, il donne grâce et gloire; Yahvé ne refuse pas le bonheur à ceux qui marchent en parfaits.
Yahvé Sabaot, heureux qui se fie en toi!

Psaume 84

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